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Rapport Accenture sur l’innovation: Une priorité pour la croissance!

By 19 novembre 2009 No Comments

Accenture_Innovation_a_Priority_for_Growth_in_the_Aftermath_of_the_Downturn

Faisant écho à l’étude  » Global Innovation 1.000″ de Booz & Company, le dernier rapport du cabinet de consultant Accenture, démontre que l’innovation est bien perçue comme le vecteur de croissance des entreprises.
La moitié des entreprises sondées disent avoir augmenté les budgets alloués à l’innovation dans les 6 derniers mois, tandis qu’un tiers n’ont pas touché à leurs budgets.
Cependant, quelques failles existent encore dans la capacité à manager l’innovation de la même manière que dans d’autres services de l’entreprises.
L’étude rappelle le fait qu’un des traits caractéristiques des entreprises tres performantes est la capacité d’utiliser une crise pour améliorer leur positionement sur le marché.
Ceci voulant dire bien évidement un focus sur la diminution des coûts mais aussi la capacité/Volonté à maintenir les démarches d’innovation, se focalisant sur le client, l’excellence opérationelle et l’acquisition de nouvelles capacités/moyens..
Ce rapport est la conclusion d’un sondage réalisé en Mai 2009 auprès de 630 Vice-présidents et  directeurs de grandes entreprises américaines et anglaises, ceci dans différents domaines (automobile, banque, pharmaceutique, medical,produits…)
Les quelques points clés:
L’Innovation est perçue comme plus importante ou aussi importante par la majorité de ces sociétés par rapport aux projets de diminution de budget, ceci dans le but de préparer l’entreprise au succès dès la reprise économique.
Beaucoup d’entreprises ont essayé de mettre en place un process d’Innovation mais les changements engagés ne semblent pas suffisants.
La majorité des succès commerciaux des 2 dernieres années proviennent de l’introduction de nouveaux produits ou services. Cependant, depuis plusieurs mois, les entreprises sont plus frileuses par rapport au risque et préfèrent une innovation incrémentale basé sur la continuité de leur gamme de produits.
37% de ces succès ont été développés par le biais de partenariats (un des éléments de l’Open Innovation).
Les dirigeants estiment que les échecs en innovation sont liés le plus fréquemment à une stratégie de prix incorrecte, le fait de ne pas avoir identifié les vrais besoins du client et d’arriver sur le marché avec du retard.
Ce qui distingue les innovateurs qui ont réussi des autres, n’est pas le montant des dépenses en tant que tel, mais plutot la façon de gérer l’innovation avec de la rigueur, une structure, des processus répétables et une mentalité de retour sur Investissement.
De la même manière, Il serait intéressant d’avoir des chiffres sur les pratiques francaises.
Aujourd’hui on ne peut trouver qu’un rapport Futuris sur la question, encore incomplet pour une vraie vue actualisée (cf article Usine nouvelle)
http://blog.usinenouvelle.com/innovation/entreprise/les-industriels-francais-boudent-ils-l%E2%80%99innovation/#more-569
Comment l’Innovation Partagée peut-elle aider ?
En reprenant les 3 lacunes pointées par le rapport, on peut constater les bénéfices de l’utilisation des outil de l’Innovation Partagée :
une stratégie de prix incorrecte :
le probème n’étant pas tant la stratégie de prix que l’incapacité à descendre le prix au niveau psychologique acceptable par le client.
En ce sens, les dépenses de R&D représentent des sommes colossales. Les économies susceptibles d’être réalisées sur ce poste de dépenses grâce à des démarches d’Innovation Partagée peuvent ainsi être très intéressantes.
Certaines entreprises peuvent ainsi éviter de se lancer dans un développement spécifique par elles-mêmes en s’associant avec des partenaires ayant déjà une technologie avancée ou finalisée. Les gains se retrouvent non seulement sur les coûts de recherche mais aussi sur la fiabilité et le temps de mise sur le marché.
le fait de ne pas avoir identifié les vrais besoins du client
Fabriquer un produit qui n’intéressera finallement pas le client est une perte énorme!
De nombreuses société ont compris tout l’intérêt de se rapprocher de leurs clients et de les faire s’exprimer sur leurs besoins.
Celles pratiquant l’Innovation Partagée vont même plus loin en laissant leurs clients donner les idées de produits ou services nouveaux qui les intéresseraient.
Ainsi on peut citer les exemples de  Dell et Starbucks avec leurs initiatives collaboratives.
l’avantage est énorme: Les idées émises ont forcément un marché !
arriver sur le marché avec du retard.
L’open Innovation permet d’accélérer les processus d’Innovation en permettant le travail en parralele de milliers de talents en dehors de l’entreprise.
Les entreprises évitent également de ré-inventer la roue en sondant rapidement autour d’eux si une solution à leur problème existe déjà.
Ceci permet bien évidemment de gagner de nombreux mois sur la mis e sur le marché, sans compter les gains financiers associés.

Faisant écho à l’étude «  Global Innovation 1.000″ de Booz & Company, le dernier rapport du cabinet de consultants Accenture (Innovation: a Priority for Growth in the Aftermath of the Downturn), démontre que l’innovation est bien perçue comme le vecteur de croissance des entreprises.

Ce rapport est la conclusion d’un sondage réalisé en Mai 2009 auprès de 630 Vice-présidents et  directeurs de grandes entreprises américaines et anglaises, ceci dans différents domaines (automobile, banque, pharmaceutique, médical, produits grande distribution…)

La moitié des entreprises sondées disent avoir augmenté les budgets alloués à l’innovation dans les 6 derniers mois, tandis qu’un tiers n’ont pas touché à leurs budgets.

Cependant, quelques failles existent encore dans la capacité à manager l’innovation de la même manière que dans d’autres services de l’entreprise.

L’étude rappelle qu’un des traits caractéristiques des entreprises très performantes est la capacité d’utiliser une crise pour améliorer leur positionement sur le marché.

Ceci voulant dire bien évidement un focus sur la diminution des coûts mais aussi la capacité/ volonté à maintenir les démarches d’innovation, se focalisant sur le client, l’excellence opérationelle et l’acquisition de nouvelles capacités/moyens..

Les quelques points clés du rapport :

  • L’Innovation est perçue comme plus importante ou aussi importante par la majorité de ces sociétés par rapport aux projets de diminution de budget, ceci dans le but de préparer l’entreprise au succès dès la reprise économique.
  • Beaucoup d’entreprises ont essayé de mettre en place un process d’Innovation mais les changements engagés ne semblent pas suffisants.
  • La majorité des succès commerciaux des 2 dernieres années proviennent de l’introduction de nouveaux produits ou services.
    Cependant, depuis plusieurs mois, les entreprises sont plus frileuses par rapport au risque et préfèrent une innovation incrémentale basée sur la continuité de leur gamme de produits.
  • 37% de ces succès ont été développés par le biais de partenariats (un des éléments de l’Innovation Partagée).
  • Les dirigeants estiment que les échecs en innovation sont liés le plus fréquemment à une stratégie de prix incorrecte, le fait de ne pas avoir identifié les vrais besoins du client et d’arriver sur le marché avec du retard.

De la même manière, Il serait intéressant d’avoir des chiffres sur les pratiques francaises.
Aujourd’hui on ne peut trouver qu’un rapport Futuris sur la question, encore incomplet pour une vraie vue actualisée (cf article Aurélie Barbaux -Usine nouvelle)

Comment l’Innovation Partagée peut-elle aider ?

En reprenant les 3 lacunes pointées par le rapport, on peut constater les bénéfices de l’utilisation des outils de l’Innovation Partagée :

1. Une stratégie de prix incorrecte.
Le probème n’étant pas tant la stratégie de prix que l’incapacité à descendre le prix au seuil psychologique acceptable par le client.

En ce sens, les dépenses de R&D représentent des sommes colossales. Les économies susceptibles d’être réalisées sur ce poste de dépenses grâce à des démarches d’Innovation Partagée peuvent ainsi être très intéressantes.

Certaines entreprises peuvent ainsi éviter de se lancer dans un développement spécifique par elles-mêmes en s’associant avec des partenaires ayant déjà une technologie avancée ou finalisée. Les gains se retrouvent non seulement sur les coûts de recherche mais aussi sur la fiabilité et le temps de mise sur le marché.

2. Le fait de ne pas avoir identifié les vrais besoins du client.

Fabriquer un produit qui n’intéressera finalement pas le client est une perte énorme!

De nombreuses société ont compris tout l’intérêt de se rapprocher de leurs clients et de les faire s’exprimer sur leurs besoins.

Celles pratiquant l’Innovation Partagée vont même plus loin en laissant leurs clients donner les idées de produits ou services nouveaux qui les intéresseraient.

Ainsi on peut citer les exemples de  Dell et Starbucks avec leurs initiatives collaboratives.

L’avantage est énorme: Les idées émises ont forcément un marché !

3. Arriver sur le marché avec du retard.

L’open Innovation permet d’accélérer les processus d’Innovation en permettant le travail en parallèle de milliers de talents en dehors de l’entreprise.

Les entreprises évitent également de ré-inventer la roue en sondant rapidement autour d’eux si une solution à leur problème existe déjà.

Ceci permet bien évidemment de gagner de nombreux mois sur la mise sur le marché, sans compter les gains financiers associés.

En conclusion, on peut citer le récapitulatif de l’étude :

Ce qui distingue les innovateurs qui ont réussi des autres, n’est pas le montant des dépenses en tant que tel, mais plutôt la façon de gérer l’innovation avec de la rigueur, une structure, des processus répétables et une mentalité de retour sur Investissement.

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